Il m’est apparu essentiel d’expliquer en terme clairs, - car le jargon né des internautes est parfois mystérieux (blogs, wikis, Skype et autres…) - pourquoi cette e-révolution s’apparente à une nouvelle « lutte des classes » entre les grands pouvoirs politiques et industriels et la société civile.Bon, alors bien sûr, on peut discuter la finesse du jeu de mot, rechigner devant cette façon cavalière de plaquer un marxisme de bazar sur les derniers buzzwords à la mode, ou être un peu incommodé par le fort parfum de réchauffé qui se dégage de l'ensemble... N'empêche qu'à 69 ans, Joël reste dans la course, comme le prouve l'audacieuse trouvaille typographique de la couverture : un e cerclé façon arobase remplace le é de pronétariat !
La révolte du pronétariat