- La recherche informationnelle cherche à accéder à un contenu (« sex » par exemple, ou « classification des bilatériens » )
- La recherche transactionnelle vise à interagir avec un contenu dynamique, par exemple télécharger un programme ou remplir un formulaire ( « divx », ou « déclaration d'impôts » )
- La recherche navigationnelle vise à accéder à un site spécifique (« pages jaunes », ou « dvanw » )
D'après Andrei Boder, les 3 types d'usage se répartissent ainsi :
- informationelle : 48%Selon affordance.info des sources récentes feraient bondir la part de la recherche navigationnelle à 60 % du total, ce qui - mine de rien - ramènerait les tout-puissants moteurs de recherche au rôle de vulgaires annuaires...
- transactionnelle : 30%
- navigationnelle : 20%
On ne cherche plus l'accès aux contenus mais l'accès aux "pages-sources" sur lesquelles trouver lesdits contenus. Rien d'étonnant là dedans, il ne s'agit que du résultat de la prise en main des contenus par les éditeurs (qu'ils soient individuels - blogs -, ou collectifs et privés ou publics).Andrei Broder : A taxonomy of web search
affordance.info: Taxonomie des recherches
1 commentaire:
Il est parfois bien plus simple de trouver sur un site précis quelque chose en utilisant Google que sur ce site précis.
Par exemple: Si vous chercher de l'info, venant du site Bosch, sur les perceuses Bosch, vous trouverez plus d'information en tapant sur google "Bosch perceuses autresmotsclés..." qu'avec une recherche sur le site de Bosch ou les outils de recherche sont minables et l'information bizarement classifiées.
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